Vers une suspension du Niger de la CEDEAO
Le réseau des institutions nationales pour les droits de l'homme des pays membres de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a exigé la suspension immédiate du Niger de la CEDEAO jusqu'à la mise en place de structures démocratiques et la restauration de l'Etat de droit dans le pays, lors de sa réunion à Banjul, jeudi.
Dans un communiqué publié à l'issue de la réunion, le réseau a appelé à la libération des journalistes et autres prisonniers politiques détenus par le gouvernement nigérien.
Le réseau a également condamné les graves violations des droits de l'homme en Gambie et en Guinée.
Il a notamment exigé de la junte au pouvoir en Guinée qu'elle se soumette à l'autorité des chefs d'Etat et de gouvernements de la CEDEAO et organise immédiatement une élection présidentielle à laquelle les autorités militaires au pouvoir ne devraient pas participer en vue de mettre en place un gouvernement démocratique et crédible.
D'après les participants à la rencontre de Banjul, le prochain sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la CEDEAO devrait faciliter l'adoption de sanctions à l'encontre de la junte guinéenne.
La rencontre a également demandé au gouvernement gambien d'être plus tolérant vis-à-vis des défenseurs des droits de l'homme et des membres de l'opposition du pays, en ajoutant que le gouvernement devrait assurer la protection des acteurs des médias.
Le réseau des institutions nationales pour les droits de l'homme a en outre invité la CEDEAO à encourager le dialogue politique au Bénin et au Togo dans le cadre de la préparation des prochaines élections présidentielles dans ces deux pays.
Banjul - 15/10/2009
Dans un communiqué publié à l'issue de la réunion, le réseau a appelé à la libération des journalistes et autres prisonniers politiques détenus par le gouvernement nigérien.
Le réseau a également condamné les graves violations des droits de l'homme en Gambie et en Guinée.
Il a notamment exigé de la junte au pouvoir en Guinée qu'elle se soumette à l'autorité des chefs d'Etat et de gouvernements de la CEDEAO et organise immédiatement une élection présidentielle à laquelle les autorités militaires au pouvoir ne devraient pas participer en vue de mettre en place un gouvernement démocratique et crédible.
D'après les participants à la rencontre de Banjul, le prochain sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la CEDEAO devrait faciliter l'adoption de sanctions à l'encontre de la junte guinéenne.
La rencontre a également demandé au gouvernement gambien d'être plus tolérant vis-à-vis des défenseurs des droits de l'homme et des membres de l'opposition du pays, en ajoutant que le gouvernement devrait assurer la protection des acteurs des médias.
Le réseau des institutions nationales pour les droits de l'homme a en outre invité la CEDEAO à encourager le dialogue politique au Bénin et au Togo dans le cadre de la préparation des prochaines élections présidentielles dans ces deux pays.
Banjul - 15/10/2009
A découvrir aussi
- Message à la Nation du Président de la République
- Début d’affichage des listes électorales
- OTAGES FRANCAIS TUÉS AU NIGER - Les coulisses de l'opération meurtrière
Retour aux articles de la catégorie ACTUALITES -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 13 autres membres